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Nous ne faisons pas dans la demi-mesure de nos paroles à nos actes. Et comme la réponse toute trouvée à la crise du plastique est une décision unanime de le recycler, nous préférons encore la dure vérité : recycler le plastique, c’est recycler le problème  Une déclaration qui donne lieu à un cortège d’oppositions familières, qui quand elles sont observées avec une distance suffisantes s'avèrent n'être que des instruments rhétoriques biaisés.

Pour répondre aux dommages causés par une économie linéaire, l’économie “circulaire” s’est donnée une double mission : diminuer l’utilisation de ressources primaires, en revalorisant les déchets, tout spécialement les matières plastiques.S’il est crucial de soulager la pression sur les ressources planétaires, une application superficielle de la circularité pourrait créer plus de mal que de bien. Avant de se demander comment recycler le plastique, il faut déjà déterminer s’il est bénéfique de le recycler.

Coïncidence ou destin ? L’avenir du plastique se décidera à seulement 65 km du siège de Mover. Le 5 août, le monde entier se réunira à Genève pour élaborer le Traité mondial sur les plastiques. Si vous n’en avez jamais entendu parler, voici ce qu’il faut savoir.

Tout commence par la sensation de tissus doux qui interagissent avec la peau sans provoquer d'irritation ni de gêne. Ensuite, c'est notre ressenti de la transpiration qui change. Dans les vêtements synthétiques, la sueur imprègne le tissu et crée une sensation d'inconfort. Les fibres naturelles, elles, l'aident à remplir sa fonction thermorégulatrice et contribuent même à évacuer rapidement la chaleur du corps.